Loic observa longuement les trois femmes de sa nouvelle demeure d'un regard que Eudoxie ne connaissait pas encore de lui, l'un de ceux qui font trembler les os.

Par chance pour son épouse, L'homme ne la visait pas particulièrement, c'est essentiellement Mérinda qui en était la victime.

La jeune femme tremblait de toute part et ce demandait ce qui allait lui arriver. Elle et sa cousine avait été convoqué sur un ton très effrayant et elle n'arrivait pas à s'en remettre...

Sarah tentait en vain de rester calme et de garder le visage le plus neutre possible afin de ne pas donner satisfaction à son maitre, mais elle aussi était déstabilisé par la situation, elle se doutait que cela allait mal tourné pour sa cousine et elle avait raison...

Mérinda ! La jeune femme se tient droite comme un piquet terrifier à l'appel de son nom.

Je t'ai confié une tâche importante que tu as mené dans son intégralité... mais en route tu as révélé son importance à mes yeux à ma femme, Mme cambell ainsi que toute les personnes qui pouvaient être présente ce jour... Loic s’arrêta devants elle la fixant encore plus profondément de son regard terrifiant. As tu quelque chose à dire pour ta défence ?
Sarah s'étonna de la question de son maitre, elle ne l'avait jamais vu posé ce genre de question auparavant, est ce que la présence de Eudoxie en était la cause ?

Je vous demande pardon maître... Je... la situation à fait que madame Lamisber devait savoir.

Dans un mouvement de bras rapide et puissant il lui envoya une énorme gifle qui la déstabilisa et la projeta au sol, la tête sur le tapis. La pauvre jeune femme aussi légère qu'une plume n'avait même pas eu le temps de sentir le coup venir.

Sarah se crispa dans son coin sans pour autant bouger d'un pouce.

Tu oses, faire de ma femme la responsable de tes actes, alors que tu étais la responsable exclusive de cette mission ! Gronda t'il à la suite de son geste.

Déshabille toi immédiatement en silence et met toi à genoux.

Mérinda s’exécuta comme si elle n'avait pas le choix. Sa nudité révéla sur son dos des cicatrices antérieurs. Elle savait ce qui l'attendait, et malgré les ordres de son maitre, les larmes coulèrent le long de sa joue dans un silence le plus total. De son coté, Sarah serrait le poing en fixant sa cousine.

Ton manquement te coutera quatre coup de fouet, deux par moi et deux par ma femme... met toi en position

Loic sortit un fouet de l'un de ses tiroirs et se mit en position pour frapper Mérinda tout en fixant sa femme.
Le premier coup était d'une violence terrible, comme si un worgen l'avait entaillé de ses griffes sur l'ensemble de son dos... La chair éclata sur l'impacte projetant l'hémoglobine partout dans le fond de la piéce... la pauvre hurla de douleur et s'écroula au sol.

Relève toi immédiatement, j'en ai pas finit avec toi ! dit il alors que son pantalon prenait du volume subitement sous les yeux de sa femme.

Mérinda se remit en position avec une très grande difficulté, mais elle savait au plus profond d'elle que si elle ne le faisait pas, ce serait encore pire...

Loic changea de bras afin de la lacérer sur l'autre diagonal, le coup fut aussi puissant que le premier projetant sa victime la tête sur le tapis dans une impacte terrible.

Sarah bouillonnait intérieurement, elle ne pouvait s’empêcher de fixer Eudoxie espérant que celle-ci intervienne pour mettre un terme à ce supplice immonde.

Loic se tourna alors vers sa promise la gaule en évidence sous son pantalon et il lui tendit le fouet.

C'est ton tour mon amour... finissons en que je m'occupe de toi dans notre chambre. Surenchérit-il d'une voie des plus pervers.

hrp : je t'ai envoyé cela hier par message privé, tu m'as pas répondit, ni décrit tes actions à ce sujet.

J'attends ton retour pour savoir comment Eudoxie à agit dans le contexte merci

Eudoxie regardait la scène se dérouler sous ses yeux, effrayer était-elle ? loin de là, Exité ? surement, son coeur battait de plus en plus vite en observant Mérinda sur le sol. Un instant Eudoxie s'arrêtait de penser à la vue du fouet tendu par son mari, elle observait la bosse dans son pantalon, et prit la décision de le prendre, et dans un élan de colère mélangé à du plaisir, elle leva le fouet sur Mérinda, à plusieurs reprises, les couts partaient un peu flémards, pour finir en cadence, un coup puis deux et trois, sous les yeux de Sarah...

Eudoxie - Alors comme ça, se serait de ma faute Mérinda ! Dit-elle en continuant comme une furie.

Elle s'arrêtait voyant que Mérinda n'en pouvait plus, le dos et les bras en sang, la femme criait dans la pièce, Sarah implora ses maitres d'arrêter, mais c'est sans connaitre la nouvelle facette d'Eudoxie, qu'elle se prit une gifle, ses bagues amochèrent le visage de Sarah, la faisant tomber à terre... Eudoxie reprit son souffle, et regardait  à présent son mari se demandant si elle à été trop loin...



Eudoxie - Loic ? Quesque j'ai fait ? je ne me reconnait pas, c'est normal ?

Eudoxie, laissa tomber le fouet sur le carrelage, le bruit du manche retentit dans la pièce à son impact et elle contempla Mérinda là, allongée sur le sol, presque sans vie... oui...elle l'observait comme si c'était une simple créature, un être de chair et d'os, comme si cela était qu'un simple animal, la vue de sang la tenait en haleine, ses yeux étaient vide, comme aspirée par ses démons...

Loic était fier d'elle comme jamais, il l'entraina dans la chambre et entreprit toute la nuit de souiller les draps avec sa femme.

Il ne lui donna pas de véritable réponse sur la normalité, ayant déjà été clair sur ce qui etait normal ou pas en début de soiré.

A la place il lui fit comprendre qu'il était très amoureux d'elle maintenant.

Ayant frappé violemment Mérinda, Loic fut très doux avec sa femme ce soir là. Est ce car il était suffisamment excité ? ou parce qu'il avait enfin trouvé son âme sœur ?

Peut être qu'il savait l'être tout simplement et que ainsi il récompensait de cette manière sa femme de ce qu'elle venait de faire...

L’ambiguïté était totale mais Loic dormit comme une marmotte après de très long ébat.

Voila déjà plusieurs jours que Loïc n'avait pas fait de chose étrange, comme faire fouetté sa servante.

Il était redevenu tendre et doux comme tu l'avais connue au départ, bien que un petit peu sauvage lors de vos ébats...

Mais ce soir là, il recommença ses extravagances...

Chérie, on a reçu les bouteilles de notre ami nain. J'aimerais que l'on en face profité Mérinda et Sarah, si tu n'y vois pas d'inconvénient ?

Sur le coup, Eudoxie n'y vit aucun inconvénient et invita les deux jeunes femmes à ce joindre avec son mari dans son bureau pour profiter du fameux Gurdol !

La boisson envahissait la pièce de sa force de caractère au point de créer une atmosphère étrange d'ivresse en devenir.

Loic ne suivit pas les recommandations du nain et servit deux verres pleins à ras bord pour les servantes, sans les coupés avec la moindre goutte d'eau alors que celui-ci avait prévenu de servit coupé à 90% d'eau et de se tenir très loin des flammes.

Eudoxie demanda un verre à son mari pour elle, ce qu'il refusa de servir, prétextant que s'était un cadeau uniquement pour les deux servantes.

Les deux servantes semblait très réticentes à boire ce breuvage mais loic insista en disant BUVEZ ! Un cadeau cela ne se refuse pas !.

Le regard de Sarah s'illumina et elle prit instinctivement le verre en main pour le boire cul sec... Mérinda fit de même tout en tremblant comme une feuille comme à son habitude.

Chaque gorgée était un vrai supplice pour les deux jeunes femmes, leurs gorges se refermait au fur et à mesure qu'elle buvait, leurs yeux vrillaient au rouge écarlate tellement le feu envahissait leurs gorges réciproques. Les larmes coulaient à flot de douleur, même pour la plus forte des deux.

Sarah fut la première à poser le verre, elle dodelinât sur sa chaise et manqua de tomber. Mérinda, elle s'effondra au sol et se mit à régurgiter sur le tapis le précieux breuvage qu'elle n'arrivait pas à contenir malgrés sa volonté.

Sarah,  ta cousine ne fait pas honneur à  mon présent...Cela me déçoit énormément... Tu étais pourtant responsable d'elle, tu te souviens ?

Loic sortit une ceinture en cuir de son tiroir.

Nous allons devoir sévir, encore...Mérinda quand tu auras finit de vomir tu me laveras le tapis, quand à toi sarah, tu m'accompagne dans la chambre. Chérie, si tu veux bien nous suivre.  

Loic invita donc sa femme et sarah dans la chambre principale, la ceinture à la main.

Déshabille toi entièrement sarah. dit-il sur un ton assez doux alors qu'il enlaçait sa femme et la couvrait d'un doux baisé dans le cou.

Sarah ne faisait rien restant stoïque devants le couple qui commençait à ce tripoté sauvagement.

Maintenant Sarah ! Dit il finalement d'un ton autoritaire.

Sarah s’exécuta immédiatement comme pour le verre d'alcool. Elle avait beaucoup de mal à distinguer le sol qui bougeait sous ses pieds, mais elle tenait bon toutefois.

Allonge toi sur le lit le cul en bombe Enchaina t'il sur le même ton.

Eudoxie put remarqué que sarah fut également fouetter dans le passé, et cela surement à de nombreuse reprise. Toutefois malgré les marques sur son dos, la soumise était vraiment magnifique  avec des formes innocentes de jeune fille.

Loic alluma son cigare et tendit la ceinture à sa promise.

Fait la jouir, chérie.

*la suite après ton intervention*

Eudoxie se déshabilla à son tour sous les yeux adorateur de son mari, elle enleva les boucles qui permettaient à sa robe de tenir au niveau de ses épaules, Eudoxie laissa tomber à ses pieds sa tunique en soie, elle s'approcha de Sarah, le corps nue sur le lit, elle commença par caresser les fesses voluptueuses de Sarah de ses doigts de fées, puis vien titiller avec ses mêmes doigts son jardin secret, elle prit les devants en plaçant Sarah jambe écarté face à Loïc, Eudoxie regardait alors Sarah d'un air craintif..

Eudoxie - Bien mon amour, elle est à toi..

Loic se contenta de mettre un grand coup de ceinture sur le vagin de sarah et de la propulser au sol avant de faire l'amour à sa femme sous ses yeux.

La pauvre servante referma ses jambes dans une horrible douleur très légèrement apaisé par l'alcool riche dans son organisme.

A la fin de leur coït, Loïc marmonnera à l'oreille de sa femme qu'il l'aimait d'un amour fou. Qu'il avait enfin trouvé son âme sœur, et qu'il n'avait pas besoin d'une esclave pour lui donner du plaisir.

A cela, il enchaina un grand coup de pied dans l’abdomen de Sarah et invita sa femme à se rapprocher d'elle.

Tu vois ma tendre épouse... elle et sa cousine sont nos esclaves... grâce à ses bracelets ont peu leurs faire ce que l'on veut... elles ne pourront jamais rien faire contre nous.

Il lui expliquera en détail le fonctionnement des bracelets et que bien sur cela devait rester entre nous.

http://bouclierantique.forumactif.com/t223-menotte-sans-chaine

Eudoxie avisera Sarah après avoir fait l'amour à Loïc, elle prenait plaisir à regarder Sarah dans le blanc des yeux pendant qu'elle se faisait chevaucher sauvagement par Loïc.

Eudoxie - Je comprends, c'est toi qui les à faite ? c'est pas un peu exagéré ?

Eudoxie basculera son mari contre le lit afin de reprendre leurs ébats, elle fit preuve d'imagination et d'acrobatie afin de satisfaire son conjoint, craignant qu'il se mette en colère..