Jayed franklinMessages : 53 Date d'inscription : 09/10/2017
Feuille de personnage Statut "BP": Garde de Platine Rang: 2ème Classe Fonction/Métier/Description. : 2ème classe. Matricule : 001. Trapu et chauve. Jayed possède sur son épaule droite une petite broche avec un "renard" ceux des 2ème classe. Alcoolique à ses heures perdus
| Sujet: [05/03/38] Rapport: Une mission de pierre précieuse Mar 6 Mar - 0:08 | | | - Citation :
Rapport de mission "OMEGA"
Rapport de mission du 05.03.38 Rédigé par Jayed Franklin, matricule 001 Objectif(s) : L'objectif de la mission fut de transporter un coffre appartenant visiblement à un client qui à souhaité garder l'anonymat. Sur-ce nous avons comme simple information le lieu ou le coffre était entreposé afin de le ramener d'un point "A" à un point "B". D'après les informations du Capitaine ce coffre appartiendrait à une connaissance du Lord Lamarzelle.
Troupes déployées : - Capitaine Trayn Pierric, matricule 003. - Sergent Luthi Theo, matricule 005. - 2ème classe Franklin Jayed, matricule 001. -2ème classe Haratis Berrion, matricule 004.
Faits :
21h15; Départ de la troupe sans encombre des appartements de la Garde. Quelques rencontres avec certain Hurleventois reconnaissant ainsi les "blancs-manteaux" fouler le pavé en direction des écuries de la ville.
Tard dans la nuit, notre arrivée dans la forêt fut longue et périlleuse à travers champs, au passage de Clairbois, plusieurs demeures sur notre chemin mais rien d'inquiétant sur le moment, les sabots de nos chevaux retentirent tout le long de la route qui était dans un état déplorable et mal entretenu, surement négligé par le Roy. Nous avons rencontré quelques veilleurs sur le chemin et aux abords du village de Sombre-Comté.
Sombre-Comté se dressait devant-nous, une fois le portail franchit le Capitaine Trayn nous dirige ainsi vers la maison en question, prêt au combat le Capitaine entre en premier suivi du Sergent Luthi, Haratis en profite alors pour fouiller l'étage tandis que moi, je reste à surveiller les alentours. Comme convenu le coffre était bien là, avec un petit message qui nous était adressé ;
"blancs-manteaux", merci d'apporter ce coffre en lieux sûr au sein de la Banque de platine, je ne peux être présent avec vous, Je fais ainsi entièrement confiance à mon ami Doriand Lamarzelle."
Une fois le coffre récupéré, la route du retour fut longue et périlleuse, nous sommes partis en direction du verger a l'Est pour reprendre la route. Elle fut sans encombre même si plusieurs cris de Worgen hurlaient dans les bois et plus nous approchions, plus les cris étaient proches. Arrivé sur un étroit sentier nous avons du descendre de nos montures, pour continué à pied nos chevaux toujours près de nous.
Quelque minute plus tard nous avons fait une pause, un sentiment étrange nous venais. Des Worgens nous observaient, caché dans les buissons. Le Sergent Luthi nous avertit du danger de par son ouïe fine, mais je n'ai pas senti l'embuscade venir et quatre Worgens nous sont tombés dessus. J'ai dû reculer du champ de bataille pendant que mes compagnons se sont battus contre ses monstres. La lutte était terrible, l'un d'eux d'une stature plus imposante que les autres se mit à foncer sur moi à peine le temps de décocher une flèche qu'elle éfleure son visage avant de me retrouver projeter en arrière par son énorme bras.
J'ai vu toute ma vie défilée, l'ombre du Worgen m'enveloppait entièrement, ses griffes étaient levés vers la cime des arbres prêt à m'éventrer comme la foudre... quand soudain dans un cri strident de la bête une lance apparue comme un éclair lui transperçant le torse, je reconnus alors la lance d'Haratis, d'un mouvement agile je me roulais sur le sol pour laisser place à la bête qui s'effondre par terre.
Les autres worgens prirent la fuite voyant leur congénère sans vie...
De retour sur hurlevent, le coffre fut ramené à la Banque après avoir essuyé une horrible blessure à la jambe et deux côtés cassés. Je remercie ainsi le jet de lance d'Haratis qui sans lui, je ne serais surement pas à l'infirmerie en train d'écrire ce rapport...
Mission accomplie.
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